Pourtant...
« J’avais plusieurs difficultés. D’abord un gros manque de confiance en moi. Je ne me sentais pas à la hauteur.
J’ai toujours eu un profil plus littéraire et les matières scientifiques ont longtemps été ma bête noire (merci les profs du collège et lycée) .
En arrivant en prépa, j’ai été très rapidement en difficulté en mathématiques parce que je ne travaillais pas suffisamment et surtout pas correctement. J’avais intégré que la matière était trop difficile et je préférais travailler la philosophie.
Pragmathiques Prépa m’a aidée à prendre confiance en moi et m’a donnée une méthode pour aborder la matière ».
(Témoignage complet dans le PDF de présentation des cours)
Dans cette vision darwinienne, les bons en maths suivent, progressent et intègrent les meilleures écoles.
En revanche, les autres stagnent, se démoralisent, se créent un blocage et sous-performent aux concours.
Si tu recherches un stage de maths pour t’aider à franchir un palier, je te conseille de choisir un ou une prof qui saura t’aider à combler tes failles.
Et pour cela, une donnée importante est la méthode qu’il ou elle utilise pour t’expliquer les maths.
C’est pourquoi, avant de te présenter mes stages de maths, je t’expose ma méthode d’enseignement pour faire progresser les élèves qui ne sont pas intuitifs/intuitives en maths.
Tu peux directement imprimer mon PDF de présentation qui reprend toutes les informations sur mon approche, mes stages, le format, etc.
(Déroulement, thèmes abordés, tarifs, dates, formats, FAQ) :
Stages pour 1ère année :
Stages de pré-rentrée pour ECG Maths approfondies 1ère année
Stages de pré-rentrée pour ECG Maths appliquées 1ère année
Stages pour 2ème année :
Stages d'été et de pré-rentrée pour ECG Maths approfondies 2ème année et cube
Stages d'été et de pré-rentrée pour ECG Maths appliquées 2ème année et cube
Ou me contacter pour en savoir plus ?
Au début, tu te demandais s’il n'était pas plus rentable de travailler les matières littéraires, puis tu as décidé de travailler davantage les maths : deux heures tous les soirs, beaucoup le week-end.
Tu apprends ton cours par cœur, ainsi que les démonstrations (car on te les demande en khôlle).
Tu prépares les exercices que ton ou ta prof te demande, parfois tu les refais, mais pas toujours.
Tu fais également les exercices du livre rouge et noir, mais tu ne sais pas quoi faire de plus pour progresser.
Certains chapitres te mettent en difficulté : par exemple, quand tu lis un énoncé de probabilité, tu ne sais pas comment réagir, quelle formule utiliser (alors que tu les connais).
Tu perds des points en rédaction, mais tu ne sais pas comment t’améliorer.
Parfois, tu comprends quelques bases. Tu arrives même à limiter la casse en khôlle, mais ça ne paye pas en DST.
D’autres fois, tu ne comprends rien. Tu te sens larguée/larguée.
Dans les deux cas, tu n’arrives pas à utiliser le cours dans les exercices, tu es face à ta copie, et les idées ne viennent pas.
Tu crains d’arriver à refaire les exercices uniquement parce que tu les connais par cœur, plutôt que de les réussir car tu les as compris.
Tu as peut-être l’impression qu’un écart se creuse avec les autres, alors qu’au début de la prépa, ça allait.
Tu te sens de plus en plus perdu/perdue face à la montagne d’efforts à fournir.
Tu crains qu’aux concours, tu aies « fait le taf » sur les matières littéraires, mais que tu auras raté l’école de tes rêves à cause des maths (qui représentent autour du tiers des coefficients).
Alors qu’en fait, t’améliorer en maths est possible même si tu n’es pas intuitif/intuitive en maths.
👉 C’est le piège classique. Pourquoi ? Analysons cela !
Mais ces “stars” maîtrisent déjà les bases et ont des facilités dans cette matière… Et donc, trouvent et peuvent enchaîner plusieurs exercices ou sujets.
Beaucoup de professeurs adorent cette méthode. Ils donnent des exercices à préparer sans la correction, ou des DM très difficiles.
C’est ainsi que des centaines d’élèves de prépa ECG passent des heures à chercher des exercices de maths sans solution (ils l'auront le lendemain), ou, s’ils l’ont, lisent la solution avec un sentiment de culpabilité après avoir cherché pendant de trop longues minutes.
Peut-être que c’est ton cas. Tu cherches, mais ne trouve pas…
Tu fais le bilan de tes 2 heures, et tu n’as pas appris grand-chose, ni vraiment évolué dans ton niveau de maths.
Tu as donc l’impression d’avoir travaillé dans le vent.
Tu te dis que tu n’es pas capable de trouver, donc que tu n’as pas le niveau.
Tu perds confiance.
Et donc tu perds des points pendant les épreuves.
Car, le mental est un atout considérable au concours, surtout en maths.
Comment quelqu’un, sans aptitude particulière, apprend à jouer d’un instrument ?
Il n’improvise pas pendant des semaines jusqu’à trouver « la note ».
Il s’entraîne à faire les accords, les reproduit plusieurs fois, se trompe et au bout de la énième tentative réussit… Et passe à un autre accord.
Après avoir appris plusieurs accords, il pourra jouer un morceau.
Mes élèves apprennent des raisonnements, s’entraînent à les utiliser dans des sujets. Ils ou elles finissent une question, regardent la correction, s’aperçoivent qu’il y a une erreur, la comprennent et la corrigent, refont la question, réussissent… Bref, s’améliorent progressivement.
Reçois mes 5 conseils pour progresser en maths et mon best-of des rapports de jurys de concours.
Pour le savoir reçois mon best-of des rapports de jurys :
Pour les matières à dissertations :
Pour les maths :
Cette étape est indispensable.
Les études en neurosciences ont prouvé que chercher avant de relire un cours ou de regarder une solution permettait de mieux retenir (même si on ne trouvait rien).
Cependant, si au bout de 2-3 minutes, tu as 0 piste, regarde la solution.
Si tu es chez toi, tu le fais en deux temps.
Tu regardes les premières lignes, et tu vois si ça t’aide à avancer.
Si tu n’avances vraiment pas, tu regardes toute la solution.
👉 Pendant ton stage, si je vois que tu bloques, je t’aide à trouver une piste.
C’est une étape essentielle !
Pourquoi j’utilise cette formule ? Pourquoi pas une autre ?
Pourquoi la réponse est-elle rédigée comme ça ?
Est-ce que ça ressemble à une autre question qui utilise cette formule ?
Est-ce que je peux identifier un modèle de raisonnement ?
Cette partie est difficile à faire par soi-même.
Les intuitifs/intuitives y arrivent plus ou moins facilement.
👉 C’est l’apport essentiel des stages, car on se pose ces questions ensemble et je t’aide à comprendre comment tu peux avoir l’idée pour avancer.
Après avoir analysé chacune des étapes, tu essaies de comprendre la suite logique du raisonnement, comment il s’insère par rapport aux autres questions du sujet.
👉 En stage, tu me poses des questions si besoin.
Car un exercice qui n’est pas réussi parfaitement, sans aide, doit être refait jusqu’à être assimilé (parfois 4 ou 5 fois s’il le faut).
Tu cherches de nouveau la question le lendemain ou maximum 3 jours plus tard. Parfois tu la réussiras parfaitement, parfois non.
Les failles de compréhension apparaissent alors plus clairement.
Un peu comme les musiciens qui refont leurs gammes plusieurs fois.
👉 C’est pourquoi un bon stage est celui où tu peux poser tes questions au prof après le stage.
Dans la marge de la correction, tu mets en avant la ruse utilisée, le point de rédaction essentiel, etc.
Sur l’énoncé tu écris à côté de la question ton avis (utile, calculatoire, piège à connaître, etc.)
À côté de tes annotations, tu choisis quand refaire la question/le sujet (lendemain, semaine prochaine, pendant les vacances, etc.)
Or, la plupart des stages des autres organismes se font dans des groupes de 8 élèves ou plus.
Le ou la prof n’a pas le temps de regarder ce que tu écris.
En revanche, c’est possible dans des micro-groupes comme ceux que je propose dans mes stages.
Quand tu as fait un stage avec Pragmathiques Prépa, tu peux me poser des questions par WhatsApp jusqu’aux concours sur les sujets que l’on a fait ensemble et je réponds dans les 24 heures.
Les stages des autres organismes ou des autres profs ne proposent pas un tel suivi.
Ils ne te laissent pas chercher suffisamment longtemps pour permettre des étapes 1 et 2 efficaces parce que le « blanc » leur fait peur. Ils ont l’impression d’être inutiles.
Et quand ils te donnent la solution, ils te donnent rarement des pistes très progressives comme cela est nécessaire pour l’étape 2.
Les profs qui ont fait une Maths Spé et qui donnent majoritairement des cours aux élèves de ces filières n’ont quasiment jamais eu besoin de cette méthode pour eux, car dès l’étape 1 (la recherche), ils trouvaient la solution.
Quand ils enseignent à leurs classes, les meilleurs élèves trouvent les résultats.
Beaucoup reproduisent donc le schéma « tu cherches jusqu’à ce que tu trouves » dans toutes leurs classes, y compris leurs stages (pas tous heureusement !).
Et quand tu ne trouves pas, ils repassent en mode « cours magistral ».
Les étapes 2 à 4 demandent de l’expérience.
Les ex-élèves de prépa HEC qui ont eu de bonnes notes aux concours font souvent partie des meilleurs profs de soutien (ce qui est logique car ils ont plus de facilités à se mettre à ta place).
Cependant, ils n’ont pas assez de recul sur l’enseignement et cela se ressent sur leurs explications, leur stratégie de sujets à donner, leur capacité à te faire progresser pas à pas. Je suis bien placé pour le savoir, mes cours n’ont rien à voir avec ceux que je donnais à l’époque où j’étais encore en école.
« Il sait aussi très bien s’adapter aux élèves, car il répond à toutes les questions qui sont souvent très différentes.
C’est un cours très vivant car on est peu nombreux, et cela permet une forte interactivité entre nous. On peut comparer nos résultats et discuter des différentes solutions pour une même question.»
(Témoignage complet dans la partie témoignage du PDF).
(Déroulement, thèmes abordés, tarifs, dates, formats, FAQ) :
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Stages d'été et de pré-rentrée pour ECG Maths appliquées 2ème année et cube
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Tu peux poser toutes tes questions ou demander une explication supplémentaire sans avoir peur de ralentir le rythme, ce qui n’est pas possible dans les stages de maths en plus gros effectifs.
Je vais également au-devant des étudiants si je sens un doute ou qu’une notion est mal maîtrisée.
Tu écoutes les questions des autres, celles auxquelles tu n’aurais pas forcément pensé.
Tu te rassures car d’autres ont posé des questions que tu aurais pu qualifier, à tort, de « stupides ».
Les stages se passent dans un esprit collectif.
Dans mes stages, tu oses avancer.
Si tu trouves la solution, tu gagnes en confiance, sinon je te donne une piste supplémentaire et tu continues de chercher.
👉 Tu progresses et développes des réflexes précieux pour les concours.
L’objectif de faire un stage en maths n’est pas de te dire « OK, il y en a qui sont forts faut que je bosse » (tu as déjà les élèves de ta prépa pour ça), mais d’avoir un prof qui prenne le temps de t’expliquer ce que tu ne comprends pas.
Mes groupes de niveau ont un nombre d’élèves suffisamment réduit pour que cela soit réellement efficace pour tous, même les plus en difficulté.
Dans mes stages, quand tu entends une question que tu ne te serais jamais posée, elle te concerne, car l’élève a un niveau proche du tien et donc, tu n’as pas forcément la réponse.
Tu écoutes mes remarques sur une erreur commise par un ou une élève.
Cette erreur, tu aurais pu la commettre, mais après avoir écouté mon explication, la correction s’imprime dans ton esprit.
On apprend beaucoup avec les erreurs des autres.
Ici, tu avances dans ta réflexion.
De plus, tu oses poser encore plus de questions, car tu remarques que le reste du groupe est intéressé par la réponse.
Tu partages tes soucis avec les autres élèves qui rencontrent des difficultés équivalentes. Ce qui vous soude. J’ai régulièrement des élèves qui deviennent amis, voire qui se font une colocation une fois en école.
La dynamique de groupe te porte, tu travailles plus, ta motivation est au sommet.
À chaque nouveau chapitre, nous partons des bases.
Je reprends si besoin chacune des méthodes ou des formules à maîtriser.
Je m’appuie pour cela sur des sujets simples, qui montrent chacune des façons d’utiliser une formule.
Ainsi, tu gagnes en assurance.
Tu apprends à réagir face à un sujet, à utiliser le cours dans les exercices, à acquérir les bons réflexes de réflexion.
L’objectif : atteindre à moyen terme un bon niveau pour que tu vises les meilleures écoles en fonction de tes notes dans les matières littéraires.
«J’étais très stressée par les mathématiques.
J’avais une forme de blocage et me disais que cette matière n’était pas faite pour moi.
J’apprenais le cours, mais dès que les exercices étaient un peu abstraits ou éloignés du cours, je bloquais, je paniquais et je n’arrivais pas à avancer.
J’ai progressé en faisant et en refaisant les exercices des livrets de Grégory, et en écoutant ses conseils de méthode.
Grégory sait nous rassurer sur nos progrès et nous encourager.
Cela m’a beaucoup aidé dans la maîtrise du programme. »
« Grégory était très fort pour trouver les mots qui me permettaient d’aller mieux quand le moral n’était pas au plus haut.
Il m’a poussée à donner le meilleur de moi-même, notamment pendant les mois d’hiver où j’avais parfois tendance à déprimer quand mes notes en maths stagnaient. »
(Témoignage complet dans le PDF de présentation des cours).
Les premières étapes sont proches de celles des groupes « monter en puissance ».
En effet, l’erreur des élèves moyens et de vouloir faire comme les plus avancés et donc de « brûler les étapes ».
On attaque bien plus tôt les sujets d’annales de Parisiennes et par conséquent on en fait davantage.
L’objectif : viser 18/20 aux épreuves HEC et ESSEC et 20/20 à celles de l'EDHEC et l'EM Lyon et obtenir quasiment sur un plateau les admissibilités dont tu rêves.
« On commence par les bases et on monte en puissance assez rapidement. Je sentais que je prenais très vite confiance.
Être tout seul, ce n’est pas forcément utile, parce qu’on n’a pas besoin d’un prof sur notre dos H24.
Mais être à plusieurs, ça nous permet de confronter des avis et des manières d’aborder les problèmes.
L’autre pose des questions auxquelles tu ne penses pas forcément et ça t’aide, ça te permet d’avoir un déclic.
Et ce sont aussi ces déclics qui vont te faire monter en puissance et prendre confiance.»
Pourquoi on utilise cette formule ici ?
En quoi l’énoncé nous donne une piste ?
Pourquoi cette autre formule ne marche pas ?
Comment je réagis face à cette question ?
Quelle est ma première intuition ?...
Tout cela ne s’improvise pas en DST, et encore moins aux concours.
Quand tu travailles sur des sujets, tu apprends à te demander comment démarrer !
Tu apprends quelle méthode tenter, pourquoi celle-là marche ou pourquoi celle-là ne marche pas.
Tu apprends à utiliser les questions précédentes.
Surtout, tu mets du contexte sur les méthodes.
C’est un peu comme apprendre un mot dans le cadre d’une phrase de thème plutôt que dans une liste de vocabulaire.
Cela te permet quand tu es aux concours d’avoir ces “éclairs de génie” : Ah mais c’est comme HEC 2012 ! Oh, ça ressemble à EDHEC 2006, voyons si ça marche.
Tu apprends à gérer les sujets qui font le lien entre plusieurs chapitres.
Tu intègres l’esprit de chaque épreuve (Maths 1 et Maths 2 de Parisiennes, EDHEC et EM Lyon).
Et c’est clairement une des choses les plus difficiles dans un sujet, parce que tu n’en as pas pris l’habitude avant la prépa.
Et c’est comme tout, si tu t’habitues, tu progresses.
Quand on s’exerce sur les sujets, je t’apprends à comprendre la logique d’un énoncé et comment les questions s’enchaînent.
Quand tu fais un sujet et que tu vises entre 13 et 18/20, il y a des questions qu’il faut savoir “sauter”.
Je t’apprends à repérer ces questions et à gagner de précieuses minutes aux concours.
J’ai analysé les sujets de maths tombés aux concours de ces 30 dernières années.
J’ai sélectionné les sujets à traiter selon trois critères :
Les autres organismes se contentent de donner aux meilleurs étudiants 30 à 40 exercices.
C’est une approche intéressante en partie, mais hélas, uniquement quantitative.
J’opte pour l’approche qualitative et réponds à l’enjeu capital : comment t’aider à acquérir un bon niveau en maths tout en te faisant gagner du temps.
Ainsi, tu ne négliges pas les autres matières qui sont probablement tes matières fortes.
J’ai conçu mes livrets pour que tu puisses acquérir de façon simple toutes les bases de cours et de raisonnement de chaque chapitre, et ainsi être capable de travailler par toi-même tes DM, tes DST et davantage de sujets d’annales.
Je les améliore chaque année en fonction des tendances des sujets de concours et des retours de mes élèves.
Cours sur les séries en prépa HEC
Tu peux voir un exemple de livret dans la page de mon cours sur les séries.
Tu as accès à 3h30 de vidéos et tout le cours et les exercices disponibles dans le livret de 70 pages disponible en PDF.
Dans mes vidéos je développe, parfois pendant 5 à 10 minutes, des notions de cours essentielles qui ne sont abordées que quelques secondes, voire juste écrites au tableau par beaucoup profs de prépa, parce qu’ils estiment qu’elles sont simples.
J’aborde également les méthodes et les ruses les plus classiques de chaque chapitre.
Si tu as compris un raisonnement, tu peux regarder la vidéo en vitesse ×1,5 pour t’assurer que tu n’es pas malgré tout passé/passée à côté d’un point essentiel.
Si tu as du mal, tu peux revoir la vidéo pour bien comprendre.
Tu n’as donc pas à prendre en note la correction.
Tu gagnes du temps, et tu te concentres sur les annotations personnelles que tu mets dans les livrets.
Le travail au moment des cours en direct est de meilleure qualité.
Grâce aux vidéos, on a davantage de temps pour traiter des sujets de concours pendant les cours en direct du stage.
Tu avances à ton rythme et tu répartis mieux ton temps de travail mathématique que les élèves qui ont un stage trop dense et qui bourrinent toutes leurs heures sans avoir le temps de reprendre les sujets entre les sessions ou après les vacances.
Cours sur les séries en prépa HEC
Tu peux voir un exemple de cours : 3h30 de vidéos et un livret de 70 pages en PDF.
Tu reprends un sujet quelques semaines plus tard, mais l’organisme ne te propose pas de t’expliquer la nouvelle difficulté que tu rencontres, c’est ennuyeux.
Tu as passé du temps sur un sujet, mais tu ne l’auras pas compris entièrement au moment de passer les concours.
C’est un énorme gâchis.
Les élèves de bon niveau n’ont pas ce problème car, généralement, ils ont résolu tous leurs problèmes pendant les stages.
En revanche, celles et ceux qui ont plus de mal ont souvent une nouvelle question à poser en refaisant les sujets 1 mois plus tard.
C’est pourquoi j’estime qu’un stage de vacances efficace qui se destine à des profils d’élèves qui ne sont pas intuitifs/intuitives en maths, se doit de proposer un suivi après les vacances.
Je ne propose pas que des heures de cours, je propose de t’aider sur des sujets jusqu’aux concours, même si on a traité ce sujet il y a plusieurs mois.
Comment cela se matérialise-t-il ?
Dès que tu as une question sur un des exercices des vidéos, ou sur des sujets que l’on a fait, ou sur les sujets supplémentaires que je te donne, tu prends en photo l’énoncé, le passage qui te pose problème et tu me fais un message vocal pour m’expliquer ce que tu ne comprends pas.
Et je te réponds dans les 24 heures.
C’est aussi simple que ça.
Pas besoin de te connecter à un site internet ou de faire une autre action qui pousse à la procrastination.
Tu as compris tout ce que tu as fait la veille.
Tu as envie de te donner encore davantage dans tes 2 à 4 heures de maths de la journée suivante.
En plus, comme tu as compris ces notions ardues, tes heures de travail personnel sont plus approfondies.
Quand tu cumules cela à l’échelle d’une année, c’est énorme !
Chaque année, beaucoup d’élèves me disent que les moments les plus décisifs pour eux étaient ces réponses aux questions.
C’est logique car c’étaient les moments où ils rentraient le plus dans les détails.
Et c’est ce qui fait la différence, car les élèves d’autres organismes (donc tes concurrents) restent bloqués en reprenant un sujet vu dans un ancien stage.
Mais ça me prend du temps, car ce sont des réponses individualisées, avec des questions de plus en plus nombreuses au fur et à mesure de l’année.
Et pendant les révisions d’avril, ça peut me prendre plus d’une heure par jour.
Une heure où je ne donne pas de cours.
Et c’est pour ça que beaucoup de profs en groupe ou profs particuliers ne répondent pas aux questions.
Les raisonnements doivent être clairs et précis, les affirmations étant étayées par une argumentation solide.
Par exemple, le recours trop fréquent à des phrases du type « il est clair que… » doit être évité au profit d’une justification correcte fondée sur un apprentissage rigoureux et une très bonne maîtrise du cours.
Rapport HEC Maths 2019
La rédaction est souvent trop approximative et les candidat(e)s manquent de rigueur dans les notations, les phrases mathématiques et l'argumentation.
Rapport EM Lyon 2016
Ton ou ta prof t’enlève des points mais tu ne saisis pas exactement ce qui était attendu.
Les corrections de tes livres ou celles de ta prépa ne sont pas toujours bien rédigées.
Et quand tu es chez toi et que tu t’entraînes, tu ne sais pas si tu as bien rédigé ou pas.
Le plus génial, c’est que tu n’as pas besoin de devenir meilleur en maths, pour gagner ces points.
Il te suffit juste de connaître les attentes, et de t’exercer avec rigueur.
Chaque exercice ou sujet est corrigé avec :
Tu n’as pas à noter tout au tableau comme dans ta prépa.
Tu peux noter à côté les remarques sur la réflexion, la méthode, les pièges, le pourquoi on utilise telle méthode plutôt qu’une autre, ou toutes les explications que j’ai données suite aux questions des autres élèves.
Comme ça, tu apprivoises d’abord les bases de la rédaction de chaque nouvelle notion.
Puis tu essaies de les reproduire dans les sujets de concours que l’on traite ensemble.
Je regarde tes réponses et t’explique comment rédiger autrement, et pourquoi telle rédaction est attendue ou pas.
À chaque point de rédaction où les élèves ont l’habitude de se tromper, je mets en relief la bonne rédaction à adopter.
Quand un élève commet une erreur, c’est aussi l’occasion de rappeler aux autres ce point de rédaction.
Quand tu fais ou refais les sujets chez toi, tu peux comparer la rédaction que tu viens d’écrire avec la mienne.
Et si tu ne comprends pas pourquoi je détaille un point, tu peux m’envoyer une question par WhatsApp.
De cette manière, tu t'appropries la rédaction jour après jour… jusqu’aux concours.
Si tu rédiges bien, tu peux avoir au moins 3 points de plus sur ta note finale par rapport à un concurrent qui a une rédaction médiocre.
C’est énorme !
Selon que tu sois en maths appliquées ou en maths approfondies, tu peux avoir entre 0,7 et 1 point de moyenne générale en plus. Et donc potentiellement, tu passes de Audencia à l’EM Lyon ou de l’EDHEC à une Parisienne.
Si tu ne résous pas ces différents problèmes, tu te disperses et au moins le tiers de ton travail personnel est inefficace : ça fait 10 heures par semaine et donc 200 heures de perdues sur une année.
C’est gigantesque !
Ta motivation baisse car inconsciemment tu te rends compte que tu travailles pour des DST qui n’apportent pas de résultat concret (ils ne comptent pas pour les concours), donc tu n’as pas l’impression de travailler pour toi, mais pour tes profs.
Tu perds le sens de ton travail.
Tu as la sensation de stagner alors que tu travailles déjà au maximum.
On aborde entre autres :
On fait le bilan de tes avancées par rapport aux objectifs fixés et à ce que l’on a mis en place.
C’est l’occasion d’améliorer et de personnaliser ton planning, pour trouver ce qui fonctionne le mieux chez toi.
C’est aussi un moyen de tenir compte de ta progression dans chacune des matières et peut-être de modifier la répartition des heures.
Tu as un doute sur quoi prioriser entre tel sujet et tel autre une semaine ?
Un problème d’organisation sur une semaine chargée ?
Après les stages, je reste disponible par Whatsapp pour répondre à une question rapide d’organisation concernant les maths ou ta prépa en général.
Tu ne fais plus ces heures pendant lesquelles tu n’avançais pas.
Tu progresses davantage et rattrapes ton retard, tu prends même de l’avance.
Ce sont des points en plus à la fin, et donc une meilleure admissibilité.
Deux avantages :
Tu ne travailles plus pour les DST. Tes objectifs sont concrets : les révisions et les concours. Donc, tu ressens moins les critiques de tes profs ou les comparaisons avec les élèves de ta classe. Ta motivation s'accroît et n’est plus minée par les tracas extérieurs.
L’enjeu des concours qui sont décisifs pour ta carrière. C’est très difficile de vivre au quotidien quand tu te dis que la moindre faille peut avoir une incidence sur les 40 prochaines années de ta vie.
À cela, s’ajoutent les jours et les semaines qui défilent, la date des concours qui approche… Et l’idée que tu devras tout réviser dans quelques mois.
Le sentiment que tu ne maîtrises pas ton emploi du temps.
La peur de te reposer, car la masse de travail s’accumule.
La peur des regrets éternels et de te dire que tu aurais pu mieux faire..
Les remarques (parfois dures à encaisser) de tes professeurs qui font très mal à l’ego.
La comparaison avec les autres élèves de ta classe, qui progressent parfois plus vite que toi, qui semblent mieux vivre leur prépa ou être mieux organisés.
Tes notes de DST qui stagnent ou baissent alors que tu te donnes à fond. La difficulté d’assumer que le travail ne paie pas encore, mais que tu dois poursuivre tes efforts pour rattraper les autres.
Sans confiance, quand tu découvres un nouveau chapitre, les nouvelles notations te désarçonnent, la quantité de raisonnements à acquérir en peu de temps te fait peur.
Sans confiance, quand tu rates un exercice, tu culpabilises et te dis que tu n’as pas le niveau.
Quand tu prends confiance en toi, tu acceptes de ne pas le réussir du premier coup et tu le refais jusqu’à le digérer. Et donc tu progresses.
En DST ou aux concours, plusieurs élèves abandonnent un raisonnement en plein milieu parce qu’ils doutaient qu’il était juste. Parfois ils ne se laissent même pas la chance de tester une idée.
De plus quand tu es en DST et que tu as galéré pendant deux heures, il est difficile de continuer à chercher les questions suivantes avec la même fougue pendant les deux autres heures.
La confiance en toi te permet de continuer d’avancer quand tu ne sais pas répondre à une question pendant une épreuve pour chercher les points qui te rendent admissible.
Réussir des calculs longs et compliqués sans faire d’erreur d’étourderie, sans craquer est beaucoup plus compliqué quand tu ne crois pas en tes chances de réussir.
Il était nécessaire de montrer un peu de ténacité pour ne pas se laisser impressionner dès le démarrage par une (fausse) impression de complexité.
Rapport ESSEC Maths 2 2019
La confiance en soi est une des armes les plus importantes en prépa HEC.
C’est pourquoi, mes stages sont bien plus que les packs d’heures de cours de maths que proposent les autres organismes.
J’ai choisi les exercices et les sujets d’annales, ainsi que l’ordre dans lequel on les aborde pour générer une montée en puissance.
Tout d’abord des exercices de base de difficulté croissante pour que tu aies le plaisir de progresser.
Puis, une gamme de sujets types assez exhaustive afin que tu maîtrises tous les raisonnements utiles aux concours.
Et enfin, les sujets plus compliqués que tu sauras aborder grâce à ton expérience.
Ainsi, tu seras en terrain connu et donc en confiance les jours des épreuves.
Ce qui te fait stresser en particulier :
J'ai suivi et me suis adapté à plusieurs profils d’élèves différents.
Les sources de motivation ou de stress ne sont pas les mêmes pour tous.
C’est pourquoi je ne donne pas les mêmes conseils à chacun.
Tout au long de l’année, pendant les 1 à 1 on fait le point sur l’évolution de cet état d’esprit. Tu vises alors plus haut que tes objectifs initiaux !
« C’était une ambiance très sympathique.
Il n’y avait aucune gêne au niveau des questions à poser. On n’avait vraiment aucun souci. Quitte à poser une « question bête », il n’y avait pas de moquerie, rien du tout.
Grégory est très présent. Il est facilement joignable si on a un petit coup de blues ou un coup de stress. Il est toujours là pour nous remonter le moral. J’ai vraiment apprécié cela pendant l’année..»
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Ancien étudiant de prépa HEC ayant obtenu 19,2/20 de moyenne en maths aux concours, je suis professeur de maths depuis 2004 et préparateur d’entretiens depuis 2010.
La prépa HEC, c’est plus de la moitié de ma vie. Je l’ai vécue de plusieurs manières différentes : en tant qu’étudiant de prépa, étudiant à l’EDHEC, professeur particulier, professeur principal en classes préparatoires, directeur d’une entreprise de cours à domicile à destination des prépas HEC, puis à travers les concours vécus aux côtés de mes élèves depuis que j’ai créé Pragmathiques Prépa en 2013.
Et par-dessus tout, je connais les raccourcis, c’est-à-dire les pièges à éviter, les stratégies et les meilleures méthodes de travail utilisées par mes anciens élèves dans chaque matière.
Mon rôle est de les partager avec toi pour te donner davantage de chances de succès.
Je suis fan de sport (principalement tennis, basket et football), de mangas (Dragon Ball, Docteur Slump, Naruto, et j’ai découvert récemment Hunter x Hunter), de séries (Friends, Seinfeld, HIMYM, Gossip Girl, Baron Noir…) de Star Wars et d’Harry Potter.
Je joue aux échecs 2 à 3 fois par semaine.
J’aime marcher 1h30 à 2 heures par jour en écoutant des podcasts.
Je suis accro au chocolat (au moins 500g de chocolat noir 100% de Madagascar ont été nécessaires pour rédiger cette page).
Chaque semaine, je lis ou j’écoute des contenus qui sont en lien avec l’organisation, la pédagogie et la préparation mentale. Par exemple, des interviews et des textes de coachs sportifs, ou d’entrepreneurs qui racontent la pression qu’ils ont surmontée.
Ce sont des lectures dans des domaines très variés qui s’adaptent toujours d’une façon ou d’une autre au quotidien des élèves de prépa HEC, et qui nourrissent mon coaching.
C’est, entre autres, grâce à ce coaching que mes élèves obtiennent le déclic, et décrochent des notes aux concours bien plus hautes que ce qu’ils ou elles avaient en début l’année.
« C’était un soutien permanent, quotidien, pendant toutes mes épreuves.
Quelqu’un qui comprenait ce que je vivais, sans être stressant pour autant et au contraire en étant très rassurant.
C’était un véritable point fort qui a été pendant mes concours quelque chose de très précieux.»
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Stages d'été et de pré-rentrée pour ECG Maths approfondies 2ème année et cube
Stages d'été et de pré-rentrée pour ECG Maths appliquées 2ème année et cube
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