Beaucoup de notions te paraissent trop abstraites. Tu as besoin de concret pour vraiment comprendre.
Parfois, tu as l’impression d’apprendre sans comprendre réellement.
D’ailleurs, tu apprends les démonstrations par cœur pour les khôlles, mais tu ne vois pas à quoi ça sert.
Tu as du mal à raisonner en plusieurs étapes. Quand tu regardes la correction, tu comprends chaque morceau, mais tu te dis : « Je n’aurais jamais eu l’idée de construire tout ce raisonnement par moi-même. »
Tu ne sais pas comment rédiger. Justifier chaque ligne, penser à tous les quantificateurs… ce n’est pas naturel pour toi.
Et en plus, les corrigés bien rédigés sont rares.
Tu apprends ton cours, tu refais les exercices de TD.
Tu fais tous les exercices du livre rouge et noir, et parfois tu fais quelques sujets que tu trouves sur Internet.
Les nouveaux chapitres se succèdent. Tu n’as pas le temps de tout digérer, et cela te démotive.
Les exercices s’accumulent. Tu les refais à la maison, mais tu as juste l’impression de les faire à la chaîne sans vraiment les comprendre.
Tu es submergé par la charge de travail. Trop d’informations à intégrer, en trop peu de temps.
En cours, vous ne reprenez jamais les bases. Tu aimerais poser des questions, mais tu crains de ralentir tout le monde avec ce que tu juges être des « questions bêtes ».
Tu passes des heures à chercher en vain les exercices de TD à faire pour le lendemain. Puis encore des heures à chercher d’autres exercices. Tu te forces à ne pas regarder la solution, parce qu’on te dit que les meilleurs font comme ça. Et à la fin de la semaine, tu n’as pas vraiment le sentiment d’avoir produit quoi que ce soit, ni d’avoir avancé.
Tu n’as pas l’impression d’avoir progressé en calcul, alors que tu en fais chaque jour.
Tu n’as pas de méthode claire. Résultat : tu oublies vite les notions vues quelques semaines plus tôt.
Tu ne sais pas quoi prioriser quand tu révises un DST.
Tu n’as pas de modèle de travail qui te parle. Tu regardes sur Insta ou YouTube des vidéos de conseils d’anciens ayant eu 20 en maths aux concours, mais ce qu’ils disent ne te correspond pas.
Tu as appris toutes les démonstrations par cœur, juste pour décrocher cette note.
Mais cela ne suffit pas : tu ne te sens toujours pas en confiance pour le prochain DST. Tu espères enfin une bonne note en DST, pour croire un peu plus en ton niveau.
Tu sacrifies ton sommeil pour bosser plus longtemps.
D’ailleurs, tu ne te concentres que sur les maths toute la semaine, et donc tu prends du retard sur les autres matières.
Tu t’acharnes sur un exercice, alors qu’il y avait des questions plus accessibles pour toi. D’ailleurs, tu as du mal à abandonner une question : tu vois le blanc s’étendre sur ta copie, et tu te dis que ça fera tache. Que ça donnera l’image de quelqu’un qui ne sait rien.
À chaque fois que tu écris, tu redoutes que cela soit faux.
Tu bloques dès qu’un exercice ne ressemble pas à ce que tu as vu dans ton cours et dans les feuilles de TD.
Tu n’arrives pas à réutiliser les questions précédentes.
Tu as l’impression que tous tes efforts n’ont servi à rien.
Ce n’est pas catastrophique : d’autres sont derrière toi. Mais vu ton investissement, ce n’est pas à la hauteur. Tu sens un vrai décalage entre ton niveau espéré et tes résultats.
Pour toi, bosser les maths est juste devenu une obligation en vue des concours, mais tu n’y prends plus aucun plaisir.
Tu te demandes si cela vaut vraiment le coup de t’acharner dessus et s’il ne serait pas plus rentable de tout miser sur les matières littéraires.
D’ailleurs, à force de trop travailler les maths, tu as laissé de côté tes matières fortes… Résultat : tes notes baissent partout.
Tu te mets une pression énorme, mais tu ne vois pas de progrès.
En cours, tu ressens une préférence claire pour les meilleurs en maths. Une « mathocratie » à qui le cours semble être destiné.
Tu te compares aux meilleurs de ta classe, qui comprennent tout tout de suite, et tu te sens nul/nulle.
Tu envies celles et ceux qui ont ces « bonnes intuitions en mathématiques ».
Parfois, tu te surprends à te demander si ça vaut vraiment le coup de continuer.
« Je n’étais pas comme ça en Terminale, je ne me reconnais plus. »
Tu évalues le retard à rattraper, et cela te plombe le moral.
Tu te demandes s’il est encore temps de changer les choses.
Tu sens l’écart se creuser, et ton plafond de verre se transformer en plafond de béton.
Parfois, tu te surprends à te demander si cela vaut encore le coup de continuer
La pression augmente, et tu t’en veux de ne pas y arriver.
Si tu t’es reconnu dans tout cela, bonne nouvelle : ce n’est pas une fatalité !
« En fin de 1ère année j’étais complètement démotivée et je ne travaillais presque plus les maths.
Progressivement, Grégory m’a aidée à m’y remettre. »
«J’étais très stressée par les mathématiques.
J’avais une forme de blocage et me disais que cette matière n’était pas faite pour moi.
J’apprenais le cours, mais dès que les exercices étaient un peu abstraits ou éloignés du cours, je bloquais, je paniquais et je n’arrivais pas à avancer.
J’ai progressé en faisant et en refaisant les exercices des livrets de Grégory, et en écoutant ses conseils de méthode.
Grégory sait nous rassurer sur nos progrès et nous encourager.
Cela m’a beaucoup aidé dans la maîtrise du programme. »
« Grégory était très fort pour trouver les mots qui me permettaient d’aller mieux quand le moral n’était pas au plus haut.
Il m’a poussée à donner le meilleur de moi-même, notamment pendant les mois d’hiver où j’avais parfois tendance à déprimer quand mes notes en maths stagnaient. »
(Témoignage complet dans le PDF de présentation des cours).
« C’était un soutien permanent, quotidien, pendant toutes mes épreuves de concours.
Quelqu’un qui comprenait ce que je vivais, sans être stressant pour autant et au contraire en étant très rassurant.
C’était un véritable point fort qui a été pendant mes concours quelque chose de très précieux.»
C’est l’objectif de mes cours hebdomadaires.
En savoir plus :
Ou me contacter pour en savoir plus ?
👉 En laissant une : DEMANDE DE RAPPEL
Les meilleurs élèves ont souvent des facilités pour acquérir et digérer les notions. Cela leur permet de sauter des étapes dans l’apprentissage d’un nouveau chapitre.
Si tu essaies de travailler comme eux, tu risques de stagner, ce qui est démoralisant. Tu serais même injuste vis-à-vis de toi-même de te comparer à eux alors que tu n’as pas les mêmes bases..
Ici, les tailles des personnages symbolisent les facilités qui permettent de passer du cours ou d’un exercice simple à des exercices très ardus (ce saut de niveau est symbolisé par les échelons très espacés).
Pourquoi c’est capital de comprendre ça ?
Parce que...
Les profs ont rarement le temps de faire à la fois le cours, les exos de bases, les exos intermédiaires, ceux plus compliqués, et enfin les exercices les plus difficiles.
Parce que le programme est dense. Et que faire cours à 40 élèves est compliqué.
C'est pourquoi en cours, plusieurs profs semblent sauter des étapes.
Et à un moment, tu perds le fil... alors qu'il reste 45 minutes de cours.
Dans cette logique darwinienne, les forts en maths « survivent », progressent et intègrent chaque année les meilleures écoles… Ce qui stabilise les statistiques de l’établissement et conforte les profs dans leurs méthodes.
En revanche, les élèves en difficulté stagnent, se démoralisent et se créent un blocage… Puis sous-performent aux concours.
Au lieu de t’acharner en vain sur des exercices trop difficiles, monte en puissance étape par étape.
Pour chaque chapitre une progression claire :
En fait avoir la « bosse des maths » n’est pas un enjeu.
Tout est possible… si tu grimpes avec la bonne échelle.
« Il est toujours nécessaire de rajouter une étape dans sa rédaction pour se démarquer de ceux qui passent directement de l’hypothèse à la conclusion. C’est particulièrement vrai pour des questions assez simples. »
Rapport HEC Maths 1 2024
« Les raisonnements doivent être clairs et précis, les affirmations étant étayées par une argumentation solide »
Rapport HEC Maths 2 2019
« L'argumentation est souvent trop vague et approximative, et la rédaction manque de clarté, de précision, de concision. »
Rapport EM Lyon 2017.
Certes, les élèves qui ont 20/20 en Parisiennes n’y attachent pas une grande importance, mais c’est parce que les meilleurs vont vite et les sujets sont sur plus de 20. Ces élèves sont donc souvent notés sur 25-27 et ont tout juste… Ainsi, en perdant 4 à 5 points en rédaction, ils ou elles peuvent encore décrocher 20/20.
Quand tu vises une note entre 14 et 17, tu ne peux pas te permettre de mépriser le moindre point.
« Quand on peut prendre, on prend ! »
Les questions potentielles sont infinies en maths avec le programme de prépa ECG.
Les meilleurs vont enchaîner tous les sujets possibles pour viser le 20/20 en Parisiennes.
Mais si tu fais ça, tu auras l’impression de te perdre dans une jungle de sujets sans fin.
En revanche, si tu cibles l’essentiel, c’est-à-dire les raisonnements et les ruses classiques, tu te mets en position de réussir les questions nécessaires pour obtenir 19/20 en EDHEC/EM et entre 15/20 et 17/20 en Parisiennes (ça prend quand même plusieurs mois, mais c’est faisable).
Et tu optimises ton temps. Tu conserves alors chaque semaine de précieuses heures pour travailler l’ESH / la géopolitique, la dissertation de culture générale et les langues.
Ton profil est équilibré. Or, il faut 12,5 de moyenne pour être admissible à l’EDHEC, 13 pour ESCP et 14 pour HEC..
Souvent en DST :
Le piège des feuilles de TD d’exercices, c’est que tu ne résous aucun de ces trois problèmes.
Si tu enchaînes les exercices, tu finis par perdre de vue ce qui est essentiel et ce qui ne l'est pas au sein de ces 40 exercices différents.
Avec les sujets de concours :
Je sélectionne les sujets d’annales les plus utiles.
Ainsi, tu as davantage de chances de tomber aux concours sur des questions déjà faites, car tu auras travaillé tous les sujets les plus classiques.
Comme les matières sont très différentes (maths, dissertation, langues) et les coefficients relativement équilibrés, l’organisation est une arme essentielle en prépa HEC (ce qui est plutôt utile pour des futurs managers).
Tu as maintenant la méthode. Mais ta limite, c’est le temps disponible. La vitesse à laquelle tu progresses et rattrape les autres.
C’est pour cela que mes cours de maths t’aident à gagner ce temps qui te manque.
Ou me contacter pour en savoir plus ?
👉 En laissant une : DEMANDE DE RAPPEL
« On commence par les bases et on monte en puissance assez rapidement. Je sentais que je prenais très vite confiance.
Être tout seul, ce n’est pas forcément utile, parce qu’on n’a pas besoin d’un prof sur notre dos H24.
Mais être à plusieurs, ça nous permet de confronter des avis et des manières d’aborder les problèmes.
L’autre pose des questions auxquelles tu ne penses pas forcément et ça t’aide, ça te permet d’avoir un déclic.
Et ce sont aussi ces déclics qui vont te faire monter en puissance et prendre confiance.»
À chaque nouveau chapitre, nous partons des bases. Progressivement, nous nous dirigeons vers les sujets de concours type EDHEC et EM Lyon. Vers le 2ème tiers de l’année, nous abordons les sujets de concours de Parisiennes.
Tu apprends à réagir face à un sujet, à utiliser le cours dans les exercices, et à acquérir les bons réflexes de réflexion.
Objectif : atteindre à moyen terme un niveau solide pour que tu vises les meilleures écoles en fonction de tes notes dans les matières littéraires.
Les premières étapes sont proches de celles des groupes « monter en puissance ».
En effet, l’erreur des élèves moyens et souvent de vouloir imiter les plus avancés et de « brûler les étapes ».
Évidemment, le rythme est plus rapide que dans les groupes « monter en puissance » : nous attaquons les sujets d’annales de Parisiennes bien plus tôt et par conséquent en faisons davantage.
Objectif : viser 18/20 aux épreuves HEC et ESSEC et 20/20 à celles de l'EDHEC et l'EM Lyon, pour que tu obtiennes presque sur un plateau les admissibilités dont tu rêves.
Cela peut sembler paradoxal, mais les meilleures écoles sont souvent obtenues par celles et ceux qui sont dans les groupes « monter en puissance ».
En effet, si tu as peu travaillé les maths en 1ère année, tu as probablement un niveau très solide dans les matières littéraires (⅔ des coefficients).
Si tu as 13-14 dans les matières littéraires aux concours, il ne te « reste plus qu’à » obtenir 13 ou 14 en maths pour être admissible à une Parisienne et même à HEC.
Tu peux poser toutes tes questions ou demander une explication supplémentaire sans craindre de ralentir le rythme, ce qui n’est pas possible dans les cours de maths en plus gros effectifs.
Tu écoutes les questions des autres et ça te met en lumière des points de difficulté qui auraient pu apparaître plus tard.
Tu t’aperçois que d'autres élèves partagent tes interrogations, même celles que tu aurais pu qualifier, à tort, de « stupides » et cela te rassure.
Cet esprit collectif et solidaire rend les cours non seulement plus efficaces, mais aussi plus agréables et stimulants.
Pendant les cours en direct, nous travaillons sur des sujets qui sont tombés en EDHEC / EM. Pour les élèves qui ont déjà un niveau solide, nous nous entraînons sur les sujets de concours des Parisiennes.
J’ai sélectionné les sujets à traiter selon trois critères :
Et c’est clairement une des choses les plus difficiles dans un sujet, parce que tu n’en as pas pris l’habitude avant la prépa.
Et comme tout, plus tu t’habitues, plus tu progresses.
Quand nous nous exerçons sur des sujets, je t’apprends à comprendre la logique d’un énoncé et comment les questions s’enchaînent.
Cette correction inclut la rédaction attendue par les jurys ainsi que toutes les étapes de calcul nécessaires.
Tu disposes ainsi d'un modèle précis pour comprendre comment présenter tes réponses de manière optimale.
Pendant nos cours, tu n'as pas besoin de noter tout ce qui est écrit au tableau comme dans ta prépa.
Tu peux te concentrer sur les explications, les méthodes et les pièges. Tu notes à côté les remarques importantes sur la réflexion et les raisons d'utiliser telle ou telle méthode.
À la maison, quand tu refais les sujets, tu peux comparer ta rédaction avec celle que je t'ai fournie, ce qui te permet de corriger tes erreurs et d'améliorer ta technique.
Je te montre comment formuler autrement et t’explique pourquoi telle ou telle rédaction est attendue.
Pour chaque point de rédaction où les élèves ont l'habitude de se tromper, je mets en relief la bonne façon de rédiger.
Ils répondent à l’enjeu crucial : t’aider à acquérir un bon niveau en maths sans réduire le temps consacré aux autres matières.
Ainsi, tu ne négliges pas les matières littéraires qui sont probablement tes points forts.
Plus de 750 pages en PDF à télécharger.
Les livrets te donnent toutes les bases nécessaires pour avancer.
Mais si tu n’as pas de facilités en maths, tu ne comprends pas forcément le cours ou un raisonnement juste en le lisant.
C’est pourquoi j'ai créé des vidéos explicatives pour chaque livret, qui te permettent de bien comprendre chaque notion à ton propre rythme avant nos cours en direct.
Dans mes vidéos je développe, parfois pendant 5 à 10 minutes, des notions de cours essentielles qui ne sont abordées que quelques secondes en classe, voire juste écrites au tableau par beaucoup de profs de prépa, parce qu’ils estiment qu’elles sont simples ou qu'ils n'ont tout simplement pas le temps.
Cours en format masterclass
Plus de 25 heures de vidéos, plus de 750 pages en PDF à télécharger.
Mon suivi hebdomadaire ne se limite pas aux heures de cours.
Je m’engage à t’aider sur les sujets qu’on traite jusqu’aux concours, même si nous les avons faits il y a plusieurs mois. Ce suivi continu est conçu pour t'assurer que tu ne te sois jamais seul dans ta préparation.
Comment cela se matérialise-t-il ?
Dès que tu as une question sur un des exercices des vidéos, ou sur des sujets que nous avons faits, ou sur les sujets supplémentaires que je te donne, tu prends en photo l’énoncé ou le passage qui te pose un problème. Puis, tu m’envoies un message vocal pour m’expliquer ce que tu ne comprends pas.
Et je te réponds dans les 24 heures.
C’est aussi simple que ça.
Pas besoin de te connecter à un site internet ou de faire une autre action qui pourrait pousser à la procrastination. Tout est conçu pour être simple et direct, afin que tu puisses te concentrer pleinement sur ton apprentissage.
👉 Simple, naturel, efficace.
J’aborde avec toi :
Nous discutons de manière approfondie des éléments qui te font stresser, notamment :
J’ai travaillé avec de nombreux élèves aux profils différents et je me suis adapté à leurs besoins variés.
Les sources de motivation ou de stress diffèrent pour chacun, c’est pourquoi je ne donne pas les mêmes conseils à chacun.
Tout au long de l’année, pendant nos sessions de coaching en 1 à 1, nous faisons le point sur l’évolution de ton état d’esprit et ajustons nos stratégies en conséquence.
Une discussion à un moment clé peut te permettre de surmonter des moments difficiles et ne pas perdre de précieux points quelques mois plus tard.
Chaque année, des anciens élèves me racontent un de ces instants où j’ai eu un impact déterminant sur leur prépa : ce moment où ils ou elles se sont dits : « je vais y arriver. »
« J’avais plusieurs difficultés. D’abord un gros manque de confiance en moi. Je ne me sentais pas à la hauteur.
J’ai toujours eu un profil plus littéraire et les matières scientifiques ont longtemps été ma bête noire (merci les profs du collège et lycée) .
En arrivant en prépa, j’ai été très rapidement en difficulté en mathématiques parce que je ne travaillais pas suffisamment et surtout pas correctement. J’avais intégré que la matière était trop difficile et je préférais travailler la philosophie.
Le Chemin de la Prépa m’a aidée à prendre confiance en moi et m’a donnée une méthode pour aborder la matière ».
(Témoignage complet dans le PDF de présentation des cours)
« Il sait aussi très bien s’adapter aux élèves, car il répond à toutes les questions qui sont souvent très différentes.
C’est un cours très vivant car on est peu nombreux, et cela permet une forte interactivité entre nous. On peut comparer nos résultats et discuter des différentes solutions pour une même question.»
(Témoignage complet dans la partie témoignage du PDF).
« C’était une ambiance très sympathique.
Il n’y avait aucune gêne au niveau des questions à poser. On n’avait vraiment aucun souci. Quitte à poser une « question bête », il n’y avait pas de moquerie, rien du tout.
Grégory est très présent. Il est facilement joignable si on a un petit coup de blues ou un coup de stress. Il est toujours là pour nous remonter le moral. J’ai vraiment apprécié cela pendant l’année..»
1) Peut-on choisir entre les cours en présentiel et les cours à distance ?
2) Quand et où ont lieu les cours ?
3) Les cours en ligne sont-ils aussi efficaces que les cours en présentiel ?
4) Ça ne fait pas trop de maths ? J’ai peur que ça me prenne trop de temps. Je veux progresser tout en gardant un bon niveau partout.
5) Et si ça ne me plaît pas ?
6) Est-ce que ça va fonctionner pour moi ?
7) J’ai déjà essayé plein d’autres solutions, et ça n’a pas fonctionné.
8) Je vais peut-être y arriver seul/seule.
9) Qu’est-ce qui différencie le Chemin de la Prépa des autres organismes de cours de maths en prépa HEC ?
10) De quelles prépas viennent les élèves ?
11) Comment le Chemin de la Prépa prépare aux sujets de Parisiennes ? Ce sont les sujets durs où j’ai du mal.
12) Quelle formule choisir ?
13) Quel est le meilleur moment pour commencer les cours ? Est-ce que je peux commencer en cours d’année ?
14) Est-ce que j’aurai des résultats rapidement ?
15) Y a-t-il un décalage entre les cours traités en classe et dans les micro-groupes ?
16) Comment le Chemin de la Prépa gère les différences de niveau ?
17) Quand on n’est pas bon en maths, je ne pense pas qu’on puisse le devenir.
18) Est-ce un aveu de faiblesse de prendre des cours ? Je n’ai jamais pris de cours.
19) J’ai peur d’être déçu/déçue de mes résultats par rapport à ma quantité de travail.
Pour voir les réponses : 👉 Doc PDF avec les réponses à la FAQ
Ou me contacter pour en savoir plus ?
👉 En laissant une : DEMANDE DE RAPPEL
Plusieurs textes sont extraits du site www.chemindelaprepa.fr
Chemin de la Prépa
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